Je suis tombé
nu du vent
le jour où le soleil effraie les ombres
dans ma terre de
l'enfant
regarde j'ai ramassé une
violette
elle ri et tatou des lettres d'anges
sur mon front
j'irai la nuit dans les bras
de la nuit
je suis encore au temps
d'écrire
le rire d'une violette
Tu es comme le pinceau qui peint le rouge d'un coquelicot dans la mémoire de mon jardin
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Magnifique !
Beau et fort
magnifique !
c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche