Un tableau sur un mur
des incessants visages
éparpillés
dans la lenteur d'un vent
j'entends un cri ou peut-être un rire
tant d'enfants temps d'enfances
dans les reflets des yeux
je ne sais plus où vont les paroles
souvenirs d'hommes en perdition
J'irai arroser la pluie sous tes yeux de terre
une mémoire attachée
à tes lèvres mots
sous l'herbe des sexes poussent les sourires
je suis l'homme perdu...de toi
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Magnifique !
Beau et fort
magnifique !
c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche