Dans ma main ouverte une feuilles morte
aussi le rire transparent d’un enfant
j’ai mis des fleurs fanées dans une poche
aussi ces cailloux pleurants la lumière
j’ai laissé les jours fleurirent des chants d’oiseaux
je laisse l’espoir faire autrement
je suis vivant de moi
je respire une forêt
le vert suptile et l’odeur des sèves
mes jours sont aussi gorgées de mes nuits frileuses
bientôt je vais chercher des mots d’hiver
mais les mots froids encombrent...
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Magnifique !
Beau et fort
magnifique !
c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche