Le temps de dire l'incertain
Un visage au milieu des pierres
mes mains caressent le vent
Dans mon fouillis de mots
cherche l'île des mers crieuses
sois le visage d'ange de l'étrange
Je ne suis aveugle que de moi
si prés du silence
La terre est habituée de nos pas
Elle n'a peur que des nuits noires
qui laissent les jours mourants
Mes bras s'étirent aux confins d'une lueur
attraper un soleil une lune
pour juste le temps certain
Je me moque de moi
de penser te revoir
Pourtant tes jardins ont la nostalgie
des mots tendres
des vagues à l'âme
Je suis assez vivant pour laisser l'impossible
Ma parole ...dit aussi aux corps sans ombres
Souviens toi elle était le paysage de tes yeux
elle était ce besoin de souffles pour éclaircir nos ciels
elle était ces histoires si intimes racontées
Nos mains ne savent plus qu'une solitude
La fin d'une histoire est toujours le début d'une autre
Je ne suis que moi-même
Tu pars et
il me reste
d'être...

Derniers commentaires

23.10 | 08:30

Magnifique !

26.06 | 08:26

Beau et fort

07.03 | 19:54

magnifique !

19.01 | 21:10

c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche

Partagez cette page