Je suis tombé

nu du vent

le jour où le soleil effraie les ombres

dans ma terre de

l'enfant

regarde j'ai ramassé une

violette

elle ri et tatou des lettres d'anges

sur mon front

j'irai la nuit dans les bras

de la nuit

je suis encore au temps

d'écrire

le rire d'une violette

Tu es comme le pinceau qui peint le rouge d'un coquelicot dans la mémoire de mon jardin

Derniers commentaires

23.10 | 08:30

Magnifique !

26.06 | 08:26

Beau et fort

07.03 | 19:54

magnifique !

19.01 | 21:10

c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche

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