J'ai le désir
de t'en aller
je tourne autour
j'ai garder un ciel
des nuages
l'arbre du jardin
je dis le vent
souffle les larmes
illuminations
mes yeux entre
ta peau notre fuite
c'est la première fois
l'horizon
je me tais
blessures
sans noms
je garde un presque rien
une poche au fond d'un caillou
Il y a une lumière rouillée a travers les volets
le temps est plus qu'un mot
perdre et aimer

 

j'ai aussi garder le sel d'une langue
nos mers sont invisibles
mers léchées

Derniers commentaires

23.10 | 08:30

Magnifique !

26.06 | 08:26

Beau et fort

07.03 | 19:54

magnifique !

19.01 | 21:10

c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche

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