Nos yeux

si

multitudes

nos visages

passage caressant

tu chantes étonnée

de nous

appel vers cette intarissable douceur

corps nus d'ombres

dans

lumière

abondante joyeuse

que faut-il attendre de l 'étonnement

sûrement

cette porte

à ouvrir silencieusement

geste à peine retenus

regardes ce jardin

nos ombres dans ce jardin

nos à peine mots

chuchotements

vie vibre

éclats d'infini

la mémoire des âmes

nous sommes pressés secoués

cette

rencontre

cette porte

à fermer

allons

accomplir

apprivoiser

les corps la vie

le temps

Derniers commentaires

23.10 | 08:30

Magnifique !

26.06 | 08:26

Beau et fort

07.03 | 19:54

magnifique !

19.01 | 21:10

c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche

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