Il y avait aussi qu’ils faisaient pleurer les arbres

il y avait aussi cette joie d’une terre

ces racines au fond des larmes

les mots se pressent et couchent l’herbe

je vois ces lumières de nuit trembler les étoiles

j’entend ce silence entre chaque arbre

je te parlerai un jour de ce silence

c’est un silence qui repose les yeux

il faut d’abord parcourir tant de méandres

chaque forêt est une pulsation du monde

Derniers commentaires

23.10 | 08:30

Magnifique !

26.06 | 08:26

Beau et fort

07.03 | 19:54

magnifique !

19.01 | 21:10

c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche

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