Les iris une prière au jardin

L’oiseau chante au bord du temps

l’instant immense

toujours les amours infinis

La lumière peint un silence

derrière se cache l’empreinte des mots

Je parle sans réalités

la légéretée en suspend

Ta main était incroyable

ton départ sans fin abîme la lumière

Mon temps étourdi

sans rires

sans colères

Il me reste une tendresse

l’encre bleue sur le rouge

de nos veines...

Derniers commentaires

23.10 | 08:30

Magnifique !

26.06 | 08:26

Beau et fort

07.03 | 19:54

magnifique !

19.01 | 21:10

c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche

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