D'abord ce nom inachevé

Quelque chose dans le ciel

Un silence d'eau à frémir les nuages

Il y avait une nuit

je suis venu vers toi

les lumières cachées au fond du décor

Mon ombre immense

La terre habitée de ta danse

Les arbres, les oiseaux sont une certitude

L’air est plus frais entre les pins

Les arbres s'agitent

comme un long frémissement

leurs cimes cognent les nuages

L’impatience déchire le décor

quelque chose est perdu

Nos silences sont nécessaires

Je t'aime

si fragile

si absente

si invisible

Derniers commentaires

23.10 | 08:30

Magnifique !

26.06 | 08:26

Beau et fort

07.03 | 19:54

magnifique !

19.01 | 21:10

c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche

Partagez cette page