et ce vent qui nous volait nos rires
Et ce vent qui nous volait nos rires je suis habillé d'une solitude il n'est pas de mon regard juste marcher tes yeux se faufilent dans la voix il manque
le généreux le corps tombe trop soumis cet espace pour l'oiseau ou juste le chant je ne sais plus cet espace complexe
qu'est-il
mieux que le désordre désarmé par les jalousies je cherche la lumière d'être et ce vent qui nous volait nos rires nous n'étions pas si perdus peut-être hésitants les chemins la certitude de rien juste nos
mains agrippées aux secours souviens-toi des mots échangés murmures tempêtes j'ai caché nos émotions au fond de tes poches de n'ose d'attendre cherches et ne m'oublie pas...
Derniers commentaires
Magnifique !
Beau et fort
magnifique !
c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche