Lorsque tu as vu le gris devenir le bleu
de l'autre
côté
là où il n'y a plus de bavardages
il y a le repère du vent
et ses histoires
as-tu vu cela ?
Aussi le noir et ses terreurs
rode encore les nuits sans silences
Mais de quoi avoir peur?
des histoires qui ne font que passer
il n'y a pas de permanence
tout glisse dans le temps
même le murmure d'une voix
et la beauté d'un doigt posé sur mes lèvres
rappel- toi...dis-tu...du désastre des plumes
nos ailes brûlées aux feux des ventres
Il nous reste nos rêves de chiffons
les sangs de nos corps sont encore
les histoires d'amour...
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Magnifique !
Beau et fort
magnifique !
c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche