Je vagabond
possible
pieds hagards
cherchent traces
regard
LA DISTANCE D'UN REGARD ENTRE NOUS
un millimètre éternel
Je coule les mots du sang de mon corps
il y a la violence de l'infini
toujours ce quatre heure
et ce combat de mes nuits
les heures du trop tôt matin
besoin de vivre sans
un peu exténué des mots Je ne me tairai pas
ma langue est de chair
mon sang
des fois
coule rouge entre les lignes
J'aimerai entendre le cri des pierres à l’accouchement des montagnes
souviens-toi nous avons été sans silence tous les deux
maintenant il y a le bruit des départs
et puis cette escalier
chaque marche
n'a pas le même temps
tes pas ont tatoués un jardin sur ma peau
il n'y a aucune place à l'oublie
mes pensées sont vagues de ta mer
ton eau est salée
je respire
le sel de ton eau
j'ai cassé une marche d'avoir été trop pressé
il y a aussi les différences à arrondir des bords des marches
la couleur des âmes n'est pas d'une seule couleur et les ages trompent le temps qui passe
peut-être
TU AURRAI PU ATTENDRE UN PEU
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Magnifique !
Beau et fort
magnifique !
c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche