Il y a cette éblouissement
ton visage glisse
tes mains en feu
tu cherches
marcher dans la brume
un chien aboie
tu cherches
inattendu
un arbre sans racines parle aux oiseaux
dans le voisinage des fougères
tu crie le roux d'automne
un silence sans soleil
toujours derrière l’œil
ce même visage
il y a ton mystère derrière les fougères cramoisies
la terre humide et ses poussières d'ombres
aucunes douleurs juste le bruit du temps