je t'ai vu renoncer
accueillir mes mots
j'ai ramassé mes gestes d'enfant
je cherche des gestes de liberté
en roulant ces chemins de silence
l'enfant s'enfouit
reste ce cri de métal
planté dans mon sommeil
il y
a si longtemps que déjà ce cri
toujours à l’intérieur
l'enfant disait qu'il n'était plus
dehors mes pieds mes mains mes yeux pleurent
pourtant je dois tant de choses à cet enfant...
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Magnifique !
Beau et fort
magnifique !
c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche