Un ciel comme une mer
l’immense
lumière vacillante
canopée
tremblante
des
yeux dans les arbres
je suis
solitaire
//nos mains d'hommes pressées
ce silence blessé des bruits des moteurs//
j'irai où la lumière tissent
nos pas
du coté de tes pupilles
ces pierres bouleversées d'un vent
je cacherai ton rire
d'îles en îles
tu sera l'inaudible
je serai l'indicible
demain un soleil
nager l'écume des vagues
reposer
nos yeux aux pieds des sables
//Nous irons à la terre
elle est amoureuse de nos souvenirs//
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Magnifique !
Beau et fort
magnifique !
c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche