Je me
te veux
là
la lumière grimaçante
le temps est bancal
je suis
bancal
échappé du gouffre des nuits
l'océan est puissant dans les rêves d'eau
mes draps humides sèche
sur Proxima du Centaure
rappelle-toi
l'eau des yeux invisible
nos salives mélangées
elles disent le feu des cœurs
j'ai la terre joyeuse de tes racines
tu restera un mystère
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Magnifique !
Beau et fort
magnifique !
c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche