Il y a ces mots qui bousculent le blanc du jour
ils m’étonnent ils m’émerveillent
comme un rugissement caché derrière un silence
il y a cette nécessité d’écouter le monde
Déjà j’ai ouvert des prisons
je crois
mais quelle danse dans ma tête ?
mais
elle danse ma tête !
à chacun de tes retours la lumière éclatée
Je suis captif de ta joie
M’enseigneras-tu à oublier le passé
Tu m’as parlé de l’envol d’un oiseau sous un vent de pluie
aussi des ombres qui se cachent derrière les arbres quand la lune écarte les nuages
Tu m’as dit donne la main à l’enfant et au vieillard
roule tes mots dans la terre pour vivre
écris ton infini pour ne pas perdre la vie...
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Magnifique !
Beau et fort
magnifique !
c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche