D'abord ce nom inachevé
Quelque
chose dans le ciel
Un silence d'eau à frémir les nuages
Il y avait une nuit
je suis venu vers toi
les lumières cachées au fond du décor
Mon ombre immense
La terre habitée de ta danse
Les
arbres, les oiseaux sont une certitude
L’air est plus frais entre les pins
Les arbres s'agitent
comme un long frémissement
leurs cimes cognent les nuages
L’impatience déchire le décor
quelque chose est perdu
Nos silences sont
nécessaires
Je t'aime
si fragile
si absente
si invisible
Derniers commentaires
Magnifique !
Beau et fort
magnifique !
c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche